Mustango live
Vendredi 7 avril 2000, j'attendais ce moment depuis des années... il aura fallu attendre le Mustango tour pour voir Murat en concert à Tours. Heureusement, Murat et ses camarades étaient en grande forme, de quoi faire oublier ces longues années d'attente.
Le concert avait lieu au Bateau-Ivre, la salle qui, grâce à la mythique Radio Béton, programme la plupart des concerts rock de la ville.
Première constatation, la salle est archi-pleine et c'est normal, après une si longue attente... La salle est un ancien cinéma avec un balcon où les gens sont assis et "la fosse" où je m'installe debout. A priori, ce soir ça pogotera moins que lors d'un mémorable concert des Buzzcocks il y a quelques années, au cours duquel j'avais dû me réfugier au fond de la salle pour terminer entier... Mais revenons au public muratien. Qui sont donc les 400 personnes présentes ce soir ? Difficile de brosser le portrait du fan moyen en fait... Disons que le "coeur de cible" est un trentenaire type télérama/libé, ce n'est pas ce qui manque à Tours. Mais le public est bien plus large et comprend aussi bien des minettes de 15 ans que des septuagénaires qui doivent s'attendre à découvrir un héritier direct de Ferré ou Brassens... Le public rock est également présent dans la fosse, bière en main, curieux de découvrir ce show annoncé comme très électronique.
Pas de première partie, les instruments sont prêts à accueillir Murat et ses acolytes. La quantité de synthés présents sur scène ne laisse aucun doute quant à la tournure électronique des événements qui vont suivre, même si les guitares (acoustiques, électriques, électro-acoustiques) sont également très présentes.
Ca y est, la musique (album de Day One) s'arrête, les lumières s'éteignent. Trois hommes entrent sur scène et la musique commence. Ovation du public tourangeau, le quatrième homme vient d'apparaître. Murat est souriant, c'est bon signe. Il s'asseoit, s'empare de sa guitare et glisse un "bonsoir" avant de commencer à jouer. C'est Jim, le premier single extrait de Mustango, qui a l'honneur d'ouvrir le bal. Version plus lente que celle du disque. Les voix de JLM et Jennifer Charles, qui est bien entendu absente, s'entremèlent pour une réussite totale. De la même façon que la guitare de JLM est soutenue par la rythmique et les bidouillages électroniques de ses camarades. Ca commence bien. Fin du morceau, applaudissements nourris, ça siffle et ça crie. Le public tourangeau a l'air de vouloir faire mentir sa réputation de public froid. La rythmique s'affole, un déluge de sonorités diverses s'abat sur la salle et JLM joue de la guitare acoustique.
Ca ne ressemble à rien de connu et effectivement, c'est le premier inédit du concert. Ca s'appelle Washington et c'est une merveille. En plus, c'est une chanson "engagée" et quelques phrases méritent d'être retenues : "Où doit on ranger la cantine, ces quelques restes d'Ocalan. Ah il faut aimer jouer des coudes, à Washingtooon". Bien sympa aussi le vocoder. Avant la fin du morceau, Murat coupe la rythmique (il dispose d'une table de mixage pour cela) et ça finit tout en douceur. Le public apprécie et le fait savoir. Troisième morceau et l'on reste dans la même veine avec une basse envoutante pour une version aérienne de Polly Jean ponctuée de petits "hé hé hé hé hé" de JLM qui font craquer les jeunes filles. A la fin de la chanson, Murat s'excite sur se guitare en secouant sa tête baissée. Il vit sa chanson. Trois titres et le concert est déjà bien lancé. Il se lève et va s'installer au piano tout en ajustant son harmonica. Quelques mots "Vous allez bien ? Moi ça va pas mal..." et il attaque Mustang, première chanson du set à être vraiment fidèle à la version de l'album, harmonica en sus. Un frisson parcourt la salle. Murat reste au piano et enchaîne avec Au mont Sans-Souci, le single que le public reconnaît de suite ce qui provoque quelques applaudissements dans la salle. Comme pour Mustang, la version est très fidèle à celle de l'album. C'est le morceau qui recueille les applaudissements les plus nourris depuis le début du set, comme si les spectateurs aimaient pouvoir évoluer en terrain connu.
Murat quitte le piano, attrape son micro alors que l'intro de la chanson suivante démarre. Il s'avance vers le devant de la scène. Il n'a pas vraiment soigné son look ce soir. Jean noir, sweat-shirt, chaussures de montagne et cheveux en bataille... mais même comme ça, les filles sont toutes folles de lui. Au passage, il a mis un cd dans sa platine et la voix de Jean Genet accompagne l'intro des Hérons, un grand moment du concert. Cette chanson, sublime sur l'album, l'est tout autant sur scène. Tout comme Le fier amant de la terre pour laquelle Murat a retrouvé sa position assise.
Décidemment, ces versions live sont vraiment séduisantes et mettent en valeur la qualité de ces chansons, probablement plus que l'album. Nouvel inédit qui n'en est plus vraiment un avec la sortie du single sur lequel il est présent, New Yorker succède au fier amant... Rien à dire sur cette chanson. C'est superbe, point. Et le meilleur reste encore à venir. Une intro lente. Tiens, ça serait bien Bang Bang... Mais les premiers mots sont "Ciel ciel il fait un temps de chien..." et les vieux fans d'exulter : on ne s'attendait pas à entendre Terre de France, ce chef d'oeuvre absolu, ce soir... Mais très vite, ce sont les premiers mots du Baiser qui se font entendre. Medley ? Pas tout à fait puis c'est effectivement Bang Bang qui commence finalement après ces quelques souvenirs... Sans doute une manière de montrer que Bang Bang est bien le lien le plus évident entre Mustango et les disques précédents de Murat... La fin de Bang Bang est fantastique. Après avoir hurlé "Mais qu'auriez vous fait sans moi, mes petits chats...", Murat attaque une série de miaulements qui provoque un tonnerre d'applaudissements... Tension et moment de détente enchaînés séduisent...
Le fidèle Denis s'installe au piano et Murat s'avance à nouveau sur le devant de la scène : "Une chanson d'amour pour les filles... Heureusement qu'il y a les filles...". Et les filles ne peuvent résister à Ami Amour Amant, elles fondent littéralement à l'écoute du deuxième inédit du set. Presqu'un moment de recueillement... Ce qui ne sera pas le cas de la chanson suivante, Belgrade, pour laquelle les garçons sortent la grosse artillerie : rythmique plombée, piano dissonnant, guitares saignantes, bruitages divers et variés : ça part dans tous les sens pendant plus de 10 minutes de pur bonheur. Murat a même ajouté quelques mots en patois auvergnat... Et quand il répète "dormir... dormir... dormir...", on a envie de crier qu'on n'est pas du tout pressé d'aller se coucher... Je me retourne pour observer le public. Même s'il est dans son ensemble enthousiaste, il semble que quelques personnes ne se sentent pas très à l'aise dans cette ambiance décapante. Ben non, c'est pas un concert de variété... Mais c'est un concert varié : Murat retourne s'installer au piano pour une chanson qui parle "de rivière et de vélo... Vous avez ce qu'il faut pour les rivières : la Loire, le Cher...".
Rivière, troisième inédit, est magnifique dans ce dépouillement piano-voix. Ca se termine par un petit discours sur le cyclisme "De Bastogne à Liège, moi je voulais être impressionnant... De Bastogne à Liège... Sur le tour de France avec le maillot jaune... et sur Paris Tours aussi... Bonsoir...". Et Murat quitte la scène. Déjà. Mais le public a du répondant et n'a aucun mal à faire revenir les garçons sur scène, Denis et Jean-Louis pour le moment. Denis s'empare de la basse et c'est Viva Calexico qui nous est servi, dans une version "de routine" qui, une fois n'est pas coutume, n'apporte pas grand chose ce qui n'empêche pas le public d'apprécier. Comme il va apprécier l'inédit qui suit, Giscard. Il est vrai que dans la ville de Royer, une chanson sur Giscard, ça ne peut que plaire... Murat profite de l'intro pour présenter ses camarades "Alain, on s'est connu sous Giscard...", "Denis, c'est le printemps, il va falloir penser au régime...", "Régis, livré directement depuis les Andes, avec le bonnet...". Suit une petite explication sur la chanson, Vulcania, les impôts et tout ça... Les tourangeaux qui paient le Vinci légué par Royer à leur ville sont bien placés pour comprendre... Cette chanson est géniale avec les 3 guitares acoustiques et le mini-moog. Décidemment, la tournée est bien fournie en inédits...
Le public aime bien connaître les chansons qu'il entend sur scène mais ces inédits se savourent dès la première écoute... Savourer n'est peut-être pas le verbe le plus adapté pour ce qu'on ressent à l'écoute de la dernière chanson du concert, Nu dans la crevasse. On ne savoure pas une tarte à la crème quand on la prend dans la gueule. Et Nu en version live ressemble un peu à un test de respect des normes parasismiques par les constructeurs de salles de spectacles... Et l'organisme humain est aussi mis à rude épreuve. Le quart d'heure que dure la chanson est physique, à la limite du mal au bide... Et quand l'engin efface Murat qui quitte la salle définitivement, il faut quelques minutes pour reprendre ses esprits. Même si on continue d'applaudir dans l'espoir que... c'est fini et c'est bien de rester sur cette impression. C'est certain, personne n'est resté indifférent ce soir. La plupart ont adoré, certain ont dû détester mais tous se souviendront de ce premier concert tourangeau de Murat. Et aussi de sa gentillesse lorsqu'il vient ensuite à la rencontre de son public pour une interminable séance de dédicaces et de questions-réponses...
Voilà. En fait, ce concert n'a pas eu lieu. Jean-Louis Murat n'a toujours pas chanté à Tours... Alors si les responsables du Bateau Ivre (ou d'une autre salle tourangelle) et de l'Olympic pouvaient faire quelque chose pour la tournée d'automne... Merci d'avance.
Première constatation, la salle est archi-pleine et c'est normal, après une si longue attente... La salle est un ancien cinéma avec un balcon où les gens sont assis et "la fosse" où je m'installe debout. A priori, ce soir ça pogotera moins que lors d'un mémorable concert des Buzzcocks il y a quelques années, au cours duquel j'avais dû me réfugier au fond de la salle pour terminer entier... Mais revenons au public muratien. Qui sont donc les 400 personnes présentes ce soir ? Difficile de brosser le portrait du fan moyen en fait... Disons que le "coeur de cible" est un trentenaire type télérama/libé, ce n'est pas ce qui manque à Tours. Mais le public est bien plus large et comprend aussi bien des minettes de 15 ans que des septuagénaires qui doivent s'attendre à découvrir un héritier direct de Ferré ou Brassens... Le public rock est également présent dans la fosse, bière en main, curieux de découvrir ce show annoncé comme très électronique.
Pas de première partie, les instruments sont prêts à accueillir Murat et ses acolytes. La quantité de synthés présents sur scène ne laisse aucun doute quant à la tournure électronique des événements qui vont suivre, même si les guitares (acoustiques, électriques, électro-acoustiques) sont également très présentes.
Ca y est, la musique (album de Day One) s'arrête, les lumières s'éteignent. Trois hommes entrent sur scène et la musique commence. Ovation du public tourangeau, le quatrième homme vient d'apparaître. Murat est souriant, c'est bon signe. Il s'asseoit, s'empare de sa guitare et glisse un "bonsoir" avant de commencer à jouer. C'est Jim, le premier single extrait de Mustango, qui a l'honneur d'ouvrir le bal. Version plus lente que celle du disque. Les voix de JLM et Jennifer Charles, qui est bien entendu absente, s'entremèlent pour une réussite totale. De la même façon que la guitare de JLM est soutenue par la rythmique et les bidouillages électroniques de ses camarades. Ca commence bien. Fin du morceau, applaudissements nourris, ça siffle et ça crie. Le public tourangeau a l'air de vouloir faire mentir sa réputation de public froid. La rythmique s'affole, un déluge de sonorités diverses s'abat sur la salle et JLM joue de la guitare acoustique.
Ca ne ressemble à rien de connu et effectivement, c'est le premier inédit du concert. Ca s'appelle Washington et c'est une merveille. En plus, c'est une chanson "engagée" et quelques phrases méritent d'être retenues : "Où doit on ranger la cantine, ces quelques restes d'Ocalan. Ah il faut aimer jouer des coudes, à Washingtooon". Bien sympa aussi le vocoder. Avant la fin du morceau, Murat coupe la rythmique (il dispose d'une table de mixage pour cela) et ça finit tout en douceur. Le public apprécie et le fait savoir. Troisième morceau et l'on reste dans la même veine avec une basse envoutante pour une version aérienne de Polly Jean ponctuée de petits "hé hé hé hé hé" de JLM qui font craquer les jeunes filles. A la fin de la chanson, Murat s'excite sur se guitare en secouant sa tête baissée. Il vit sa chanson. Trois titres et le concert est déjà bien lancé. Il se lève et va s'installer au piano tout en ajustant son harmonica. Quelques mots "Vous allez bien ? Moi ça va pas mal..." et il attaque Mustang, première chanson du set à être vraiment fidèle à la version de l'album, harmonica en sus. Un frisson parcourt la salle. Murat reste au piano et enchaîne avec Au mont Sans-Souci, le single que le public reconnaît de suite ce qui provoque quelques applaudissements dans la salle. Comme pour Mustang, la version est très fidèle à celle de l'album. C'est le morceau qui recueille les applaudissements les plus nourris depuis le début du set, comme si les spectateurs aimaient pouvoir évoluer en terrain connu.
Murat quitte le piano, attrape son micro alors que l'intro de la chanson suivante démarre. Il s'avance vers le devant de la scène. Il n'a pas vraiment soigné son look ce soir. Jean noir, sweat-shirt, chaussures de montagne et cheveux en bataille... mais même comme ça, les filles sont toutes folles de lui. Au passage, il a mis un cd dans sa platine et la voix de Jean Genet accompagne l'intro des Hérons, un grand moment du concert. Cette chanson, sublime sur l'album, l'est tout autant sur scène. Tout comme Le fier amant de la terre pour laquelle Murat a retrouvé sa position assise.
Décidemment, ces versions live sont vraiment séduisantes et mettent en valeur la qualité de ces chansons, probablement plus que l'album. Nouvel inédit qui n'en est plus vraiment un avec la sortie du single sur lequel il est présent, New Yorker succède au fier amant... Rien à dire sur cette chanson. C'est superbe, point. Et le meilleur reste encore à venir. Une intro lente. Tiens, ça serait bien Bang Bang... Mais les premiers mots sont "Ciel ciel il fait un temps de chien..." et les vieux fans d'exulter : on ne s'attendait pas à entendre Terre de France, ce chef d'oeuvre absolu, ce soir... Mais très vite, ce sont les premiers mots du Baiser qui se font entendre. Medley ? Pas tout à fait puis c'est effectivement Bang Bang qui commence finalement après ces quelques souvenirs... Sans doute une manière de montrer que Bang Bang est bien le lien le plus évident entre Mustango et les disques précédents de Murat... La fin de Bang Bang est fantastique. Après avoir hurlé "Mais qu'auriez vous fait sans moi, mes petits chats...", Murat attaque une série de miaulements qui provoque un tonnerre d'applaudissements... Tension et moment de détente enchaînés séduisent...
Le fidèle Denis s'installe au piano et Murat s'avance à nouveau sur le devant de la scène : "Une chanson d'amour pour les filles... Heureusement qu'il y a les filles...". Et les filles ne peuvent résister à Ami Amour Amant, elles fondent littéralement à l'écoute du deuxième inédit du set. Presqu'un moment de recueillement... Ce qui ne sera pas le cas de la chanson suivante, Belgrade, pour laquelle les garçons sortent la grosse artillerie : rythmique plombée, piano dissonnant, guitares saignantes, bruitages divers et variés : ça part dans tous les sens pendant plus de 10 minutes de pur bonheur. Murat a même ajouté quelques mots en patois auvergnat... Et quand il répète "dormir... dormir... dormir...", on a envie de crier qu'on n'est pas du tout pressé d'aller se coucher... Je me retourne pour observer le public. Même s'il est dans son ensemble enthousiaste, il semble que quelques personnes ne se sentent pas très à l'aise dans cette ambiance décapante. Ben non, c'est pas un concert de variété... Mais c'est un concert varié : Murat retourne s'installer au piano pour une chanson qui parle "de rivière et de vélo... Vous avez ce qu'il faut pour les rivières : la Loire, le Cher...".
Rivière, troisième inédit, est magnifique dans ce dépouillement piano-voix. Ca se termine par un petit discours sur le cyclisme "De Bastogne à Liège, moi je voulais être impressionnant... De Bastogne à Liège... Sur le tour de France avec le maillot jaune... et sur Paris Tours aussi... Bonsoir...". Et Murat quitte la scène. Déjà. Mais le public a du répondant et n'a aucun mal à faire revenir les garçons sur scène, Denis et Jean-Louis pour le moment. Denis s'empare de la basse et c'est Viva Calexico qui nous est servi, dans une version "de routine" qui, une fois n'est pas coutume, n'apporte pas grand chose ce qui n'empêche pas le public d'apprécier. Comme il va apprécier l'inédit qui suit, Giscard. Il est vrai que dans la ville de Royer, une chanson sur Giscard, ça ne peut que plaire... Murat profite de l'intro pour présenter ses camarades "Alain, on s'est connu sous Giscard...", "Denis, c'est le printemps, il va falloir penser au régime...", "Régis, livré directement depuis les Andes, avec le bonnet...". Suit une petite explication sur la chanson, Vulcania, les impôts et tout ça... Les tourangeaux qui paient le Vinci légué par Royer à leur ville sont bien placés pour comprendre... Cette chanson est géniale avec les 3 guitares acoustiques et le mini-moog. Décidemment, la tournée est bien fournie en inédits...
Le public aime bien connaître les chansons qu'il entend sur scène mais ces inédits se savourent dès la première écoute... Savourer n'est peut-être pas le verbe le plus adapté pour ce qu'on ressent à l'écoute de la dernière chanson du concert, Nu dans la crevasse. On ne savoure pas une tarte à la crème quand on la prend dans la gueule. Et Nu en version live ressemble un peu à un test de respect des normes parasismiques par les constructeurs de salles de spectacles... Et l'organisme humain est aussi mis à rude épreuve. Le quart d'heure que dure la chanson est physique, à la limite du mal au bide... Et quand l'engin efface Murat qui quitte la salle définitivement, il faut quelques minutes pour reprendre ses esprits. Même si on continue d'applaudir dans l'espoir que... c'est fini et c'est bien de rester sur cette impression. C'est certain, personne n'est resté indifférent ce soir. La plupart ont adoré, certain ont dû détester mais tous se souviendront de ce premier concert tourangeau de Murat. Et aussi de sa gentillesse lorsqu'il vient ensuite à la rencontre de son public pour une interminable séance de dédicaces et de questions-réponses...
Voilà. En fait, ce concert n'a pas eu lieu. Jean-Louis Murat n'a toujours pas chanté à Tours... Alors si les responsables du Bateau Ivre (ou d'une autre salle tourangelle) et de l'Olympic pouvaient faire quelque chose pour la tournée d'automne... Merci d'avance.