Les avis sur ce concert

C’était la première fois qu’il passait dans mon département. J’ai eu 30 km à faire et peu de mal à trouver contrairement aux autres.

Arrivé à 17h, quelques fans que je ne connais pas étaient déjà présents. Jean-Louis est arrivé un peu en retard vers 17h30 avec ses musiciens au volant d’un Picasso et avec les lunettes de soleil car oui, il fait parfois beau et chaud dans le nord de la France !

Les portes de la balance étaient ouvertes. Jean-Louis a enchaîné Taormina, Parfum et La petite idée. L’acoustique de la salle était très bonne de l’aveu même des musiciens. JL est ensuite venu discuter un peu avec chacun des fans présents.

A suivi une longue attente dans la fraîcheur du crépuscule pendant que JL se reposait dans sa loge et que le staff était parti au resto. Heureusement, les forumers ont discuté un peu entre eux et cela a fait passer le temps.

Bon passons aux choses sérieuses. La salle n’était pas comble mais il y’avait apparemment 300 personnes (dont 15 que j’ai rameutées). Il y avait un bon noyau de fans dans les premiers rangs qui ont dansé et mis l’ambiance dès la première chanson. Taormina donc avec une longue intro et un JLM très en forme sur sa guitare! Puis il commence le chant, la voix est posée, chaude, bien rendue par les enceintes. Dans les premiers rangs, bien sûr, on entend plus le son de scène, surtout pour la guitare car on sait que les amplis de JL sont souvent à 10 mais c’est tant mieux pour l’ambiance.

Caillou entraînante puis ça se calme un peu sur Démariés toujours aussi belle, Le désert avance qui va crescendo, Est-ce bien l’amour, Dieu de l’amour magnifique aussi. Puis ensuite le chemin des poneys langoureuse complainte qui termine en delay voix etc...Parfum d’acacia, Carthage (dont je n’aime pas la version), L’au-delà qui est bienvenue pour bouger un peu et réveiller le public qui était moins enthousiaste qu’au début, Au dedans de moi.

Mention spéciale pour l’heure du berger qui a été parfaite de bout en bout et dont les cris sur la fin ont surpassé ceux du Jaguar, j’ai hurlé tellement c’était fort et beau...

Pause pour les musiciens, JL nous fait L’amour qui passe guitare harmonica puis ils reviennent pour Le cri du papillon mais comme si JL était pressé ou agacé, il enchaîne directement sur l’intro du Jaguar sans même nous le laisser applaudir, Jaguar dont le rythme était trop rapide à mon goût...

Un au revoir chaleureux puis les lumières interrompent à regret le début de rappel...puis, dernier concert oblige, deux bouteilles de champagnes ont été sabrées dans les loges...

Vivement Koloko

Antonin