Les avis sur ce concert

Je ressens le besoin de parler de la très bonne soirée que j’ai passée hier puisque le 26 avril était la date de venue de Murat à Nancy !

C’était la première fois que je le voyais en concert et je n’ai pas été déçue ! (…). Murat est arrivé sur scène sous les applaudissements et les cris, vêtu d’un pantalon en cuir et d’une large chemise ouverte. Il a commencé « Foule Romaine », magnifique évidemment, la première chanson c’est comme la première gorgée de bière (excusez la comparaison !). Murat faisait quelques commentaires entre les chansons et nous avons eu quelques révélations sur le postérieur de Loana et sur l’avis personnel de Murat de faire l’amour dans l’eau... Les chansons étaient très vives, beaucoup plus entraînantes que dans Muragostang que j’avais trouvé un peu lent, peut être parce que j’ai juste écouté le CD.

Bref, le dynamisme de Murat avait tout pour rendre folle la pauvre adolescente que je suis. Au moment de « Baby carni bird », le public s’est fait un plaisir de crier Wouuuutchiiii, cri maintenant célèbre, placé en deuxième position dans la cri-list après l’idiot et célèbre Waaazaaa. Mais le public parlait aussi avec l’artiste avec le rire et les murmures puisque nous ne nous sommes pas privés de finir les refrains de certaines chansons lorsque Murat nous faisait signe. Il slalomait entre la guitare, le piano, l’harmonica et la voix avec une grande aisance même s’il a dit qu’entre les chansons, c’était du « peu professionnel ». Nous avons évidemment eu droit à l’imitation de la petite fille du Mont Sans Soucis. Du « Moujik et sa femme », du « Mustango », du « Madame Deshoulières » et même des inédits, tout cela était très bien même si je reste toujours hystérique et que je me roule par terre à l’entente de « Sentiment Nouveau » ou « Aimer »... Le concert est passé très vite et ce fut une émeute générale lorsque Murat a déclaré qu’il jouait une dernière chanson. Après son départ, il a été obligé de revenir sous les cris de la foule en dééélire. Alors là, Murat a bien donné. C’est presque si les rappels ont duré plus longtemps que le concert, à notre plus grand plaisir ! Mais après ce rêve de presque trois heures, il fallait déjà rentrer et je n’ai pas regretté de ne pas pouvoir aller parler à un Murat qui s’est vite « enfuis »... C’est pas grave, comme ça il fait encore plus inaccessible ! :-)

@lexandra